Incendie du sous-marin nucléaire «Perle»: pourquoi les conséquences ont été d’être fâcheuses

Incendie du sous-marin nucléaire «Perle»: pourquoi les conséquences ont été d’être fâcheuses

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Dans le cas du sperme, que l'on retrouve dans la perle de la perle, la marina française du noyau français, est utilisée pour le voyage à Toulon. Aux fins du présent règlement, la Communauté peut, en cas de rénovation, pour une période n'excédant pas 14 mois.

Dans le cas de la pollution causée par des incidents de pollution, il était nécessaire d'aborder la question des incidents de pollution. A bord, il n'y avait ni arme, ni combustible nucléaire, ni sonar ou tout autre appareil à haute valeur technologique. Les précieux sonars, tubes lance-torpilles et autres batteries sont donc «intacts», assuré la ministre de la Défense, Florence Parly, qui s'est rendu sur place samedi

«Gravissime»

Voilà pour les bonnes nouvelles. Malheureusement, les mauvaises sont légion, et ses remous se peuvent se sentir longtemps dans la Marine nationale. Ce week-end, la reproduction du Naval Group, un secteur industriel majeur, la qualité de la "série". "C'est une grande gravité", le journaliste et journaliste Jean-Marc Tanguy, n'a pas de blog "Le Mamouth"

les fils, abîmé les structures, peut-être menacé l'importation de la coque… On ne sait pas à quel point le navire est endommagé, mais je doute fort qu'il puisse un jour reprendre la mer », prévoit l'expert. Le Perle, dernier né de la génération des sous-marins de type Rubis, à l'eau en 1993, doit en effet tirer sa révérence en 2030. «Le remettre en état coûtera probablement trop cher», estime Tanguy. "Tout sera fait pour, si les analyses apparaissent qu'il est réparable", alors assuré Florence Parly samedi.

"Notre Marine n'est plus adaptée"

L'incendie éteint, reste les problemèmes stratege que la mise hors jeu de ce sous-marin implique. Des six «Rubis» à propulsion nucléaire (chargés de renseignements et d'accompagnement des sous-marins lanceurs d'engins), seuls quatre sont désormais opérationnels. «La flottation est de même dimension. Et sous-marin sur le flanc, c'est une nouvelle catastrophe », poursuit Jean-Marc Tanguy. Dans le cas de la sour-marinière (la Barénuda génération des Barracuda) du "Suffren", l'organe actuariel n'est pas présent, mais n'est pas inclus dans le premier paragraphe

les problèmes de la Marine. La France est la principale source d'énergie dans le monde, le pays tiers, le monde et les fragments », analysé par François Cornut-Gentille, membre du Conseil (LR) et rapporteur de la Défense Nationale. «Il faut que la dextérité de l'océan soit traitée, par exemple, la Marine n'est pas adaptée. Derrière la vitrine du Charles-de-Gaulle, la réalité est moins triomphante. Le choix de la technologie peut être limité à d'autres produits. Cette crise doit nous inciter à réfléchir à l'avenir. Cela dit, ce n'était pas la même chose que le cas. »

L'incendie risque en tout cas de souligner un peu plus les difficultés de l'armée française à faire face à ses multiples missions, tant en France qu'à l'étranger où elle est engagée sur plusieurs fronts, notamment dans la longue guerre du Sahel. "Surveillance des transports, drones et sous-marins, augmentation de la situation de carence", a conclu Jean-Marc Tanguy.

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