Il y a 153 ans le tsar du Russie Alexandre II remporte la victoire des attent à Paris

Il y a 153 ans le tsar du Russie Alexandre II remporte la victoire des attent à Paris

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Le 6 juin 1867, le boulevard de Paris dirigeait le cadre d'un attentat visant le tsar Alexandre II qui se trouvait dans une calèche avec ses deux fils et l'empereur Napoléon III.

Le 13 mars 1881, le tsar Alexandre II, âgé de 62 ans, était tué à Saint-Pétersbourg dans un attentat à la bombe. L'Empire russe a été privé de 26 ans en vue de sa propre expérience. L'une d'elles d'est déroulée à Paris, le 6 juin 1867. Il y a juste 153 ans.

Alexandre II se trouve dans la capitale française avec deux de ses fils -le tsarévitch Alexandre (futur tsar Alexandre III) et le grand-duc Vladimir-, à l'invitation de l'empereur Napoléon III. La proposition a été adoptée par le Tribunal de première instance afin de garantir l'ouverture de l'exposition. A l'occasion de cette manifestation, la République française, la Fédération de Russie, la Fédération de Russie et les assistants prussiens et le Grand-Duché de Longchamp. La retraite de la cellulite, qui fait l'objet de l'image de l'image originale, est reproduite dans les mots suivants: "Une tentative de sinistre à faini changer en deuil l'allégresse générale".

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Image d ' Montage épinal de l'assassinat de saint Alexandre II à Paris le 6 juin 1867 © API / Gamma-Rapho via Getty Images

L'empereur de Russie a ouvert un lieu où la première a eu lieu Compagnon de Napoléon III Une autre suivait, occupée par l'impératrice Eugénie, le roi de Prusse et son fils. chevaux de marcher avant pas, un jeune homme se détacha brusquement de la foule et et, entr'ouvrant son gilet, en tira un pistolet à deux coups qu'il déchargea sur la Voiture », peut-on lire dans cette légende qui précise qu'alors un des écuyers de Napoléon III, qui avait vu le mouvement de l'homme, fit faire un bond à son cheval et se plaça entre lui et les empereurs. Le texte se lit comme suit: «Dans la traversée des naseaux du cheval (qui est mort de sa blessure), passa entre les empereurs et les grands-ducs, et alla blesser une dame de l'autre côté de la Voiture. Le cheval se cabra et le sang jaillit de sa blessure jusque sur les vêtements des empereurs et des grands-ducs. Lassassin avait tiré ensemble les deux coups du pistolet, une seule balle partit, le deuxième canon ayant éclaté entre ses mains, il avait mutilé les doigts de la main gauche sur laquelle il avait appuyé son pistolet »

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Choquée et indignée, la foule voulut massacrer le tireur. Lequel s’était évanoui suite à sa blessure. Il recupéré par les capitaines de la garde de Paris qui le mirent dans un fiacre, direction la préfecture de police. Il a été proposé que Antoine Bérézowski, 20 ans, et celui de la Région polynésienne polonaise soient renommés, alors sous le joug russe. Outre l'isolement, la complexité et le fanatisme de la politique, c'est le cas du dessert de Naples III et celui de la troisième personne.

Le tireur fut condamné aux travaux forcés

«Le lendemain de l’attentat un Te Deum est la destination gastronomique parisienne. L'empereur Napoléon, l'Impératrice y assistaient, l'empereur Alexandre et ses fils, le roi de Prusse, les princes étrangers, les ambassadeurs de toutes les puissances, etc., etc. », rendent compte de l'héritage de cette image. Le Procès d’Antoine Bérézowski gère trois organisations. Gravité la gravité de son geste, il ne fut pas pas condamné par la Cour d’assises de la Seine à la peine capitale, mais aux travaux forcés en Nouvelle-Calédonie.

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